

Textes et poèmes du Mercredi 01 Avril 1998
L'ACROSTICHE
A comme l'A où tout commence
Et où tout peut s'enfuir sous tes yeux
Regardant, impuissants, de leur pauvre "par-terre"
Oeuvrer l'oiseau vainqueur de l'invasion des cieux.
Craint pour sa carcasse, vole son angoisse
L'aigle s'en fout bien, sa sensation, il l'a !
Uses tes chaussures à rêver son espace
Bats toujours de tes bras, tu ne l'atteindras pas.
Dis-toi q'un jour peut-être, cet immense décor
Eveillera en toi, ce pilote qui dort.
Braves tous les vents qui te collent à la terre
Rayonnes à ton tour sur ces yeux pleins de "dires"
Ils ne pourront exprimer ce que tu envoleras
Vers ta voie sans ambages, loin du rêve de ce jour
Et de ton ciel nouveau, naîtra un autre amour.
A comme l'A où tout commence
Et où tout peut s'enfuir sous tes yeux
Regardant, impuissants, de leur pauvre "par-terre"
Oeuvrer l'oiseau vainqueur de l'invasion des cieux.
Craint pour sa carcasse, vole son angoisse
L'aigle s'en fout bien, sa sensation, il l'a !
Uses tes chaussures à rêver son espace
Bats toujours de tes bras, tu ne l'atteindras pas.
Dis-toi q'un jour peut-être, cet immense décor
Eveillera en toi, ce pilote qui dort.
Braves tous les vents qui te collent à la terre
Rayonnes à ton tour sur ces yeux pleins de "dires"
Ils ne pourront exprimer ce que tu envoleras
Vers ta voie sans ambages, loin du rêve de ce jour
Et de ton ciel nouveau, naîtra un autre amour.
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